Chroniques d'un fils de la mort

Certains disent que sous les roseaux des marais d’Anathema que la mort pousse. Dans l’opulente luxure des marécages, la putréfaction prolifère et seuls quelques élus sont amenés à maitriser ses arcanes. Bien que la plupart soit anachorètes, il en est qui soit parti à l’aventure au-delà des eaux troubles, par-delà les montages de Kryte. L’un de ceux-là, poussé par sa témérité, s’éprit de sociabilité, et entama un long voyage, épaulé de fiers camarades au sein du cercle des Ombrevents.
                C’est ainsi que Rogmänar prit les devants de sa quête du pouvoir, traversant les décadentes catacombes aslcaloniennes et s’en fût rejoindre les intrigues du manoir de Caudecus.
                Ce n’est qu’au sein de la nuit que la noirceur de la mort se sustente, aussi c’est humble parmi les ténèbres que notre héraut invoqua, par-delà le monde des vivants, des démons  en recherches d’âmes nourrissantes.

                L’Histoire n’en est pas à sa fin, la quête de pouvoir a cette caractéristique propre que la perpétuité, c’est ce qui l’identifie et dans le sombre corridor de cette trame, la faim de Rogmänar n’est pas encore assouvi.

Alors que le temps semble s'échapper, que la course contre les dévots du grand dragon semble nous échapper, Rogmänar étend son ombre. Par sa quête de pouvoir il s'est transformé, la mort lui a octroyé se présent. Il a supplanté sa condition d'humain, aujourd'hui Liche, il fait étend la putréfaction aux ennemis qui osent le défier.
          Bien que ses pouvoirs soient accrues, il ne pu cependant sauver l’îlot qui gardais l'Arche du lion, les hordes de zombies eurent raison des défenses et le héro dû alors se résoudre à prendre la fuite.
          Ramené à la raison, il prit alors la décision de faire grandir d'avantage ses pouvoirs. Triomphant de la Tonnelle du crépuscule, il joint les vertus du poison à la putréfaction. Et dans l'étreinte des lamentations, il développa la faculté d'affaiblir l'ennemi par la fluidité du sang, vidant de leurs sangs ses opposants.